Cultiver l’imprévu, celui des usages, des itérations, des changements de situations, des changements de paradigmes.
Développer des écosystèmes où le vivant à sa place pour grandir ensemble.
Aborder les projets par leur dimension technique et structurelle dans une architecture aussi rigoureuse qu’innovante et capable. Privilégier l’adaptabilité pour laisser la place au futur, en cours de gestation. Préférer les matériaux bio-sourcés, ancrés dans une réalité voisine.
Mettre en scène, dans une unité de lieu et une multiplicité de temps, une pluralité d’actions. Activer la ville comme espace de représentations et d’expérimentation. Rassembler ses acteurs dans des transitions communes.